Ce n’est pas la beauté du corps, ni même celle de l’intelligence.
C’est une lumière intérieure.
C’est ce qui se dégage d’une âme qui aime, qui pardonne, qui espère, qui cherche Dieu ou la vérité, même dans le doute ou la douleur.

Elle se reconnaît dans :

• Le regard doux d’une personne qui a traversé l’épreuve, mais qui n’est pas devenue dure.
• Les silences pleins de paix, même sans mots religieux.
• La bonté gratuite, celle qui ne cherche ni retour ni gloire.
• L’humilité sincère, qui ne se rabaisse pas, mais qui ne cherche pas à briller.
• La force fragile de quelqu’un qui continue à aimer la vie, malgré les blessures.

La beauté spirituelle, c’est ce qui brille quand tout le reste s’efface.

Quelques images ou pensées qui l’évoquent :

Saint-Exupéry disait :
« On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. »

Le Coran parle des « cœurs purifiés » qui sont ceux que Dieu regarde.

Sainte Thérèse de Lisieux disait que la plus grande beauté, c’est l’amour offert en secret.

Une vérité profonde

La beauté spirituelle ne dépend pas de l’état psychique, ni des performances.
Même quelqu’un de brisé, malade, ou en crise peut rayonner d’une beauté immense — justement par sa vérité, sa vulnérabilité offerte, sa foi silencieuse.