La Valeur du Partage
Donner un peu de soi, c’est agrandir le monde
Qu’est-ce que le partage ?
Partager, ce n’est pas seulement donner ce qu’on a — c’est aussi se donner soi-même.
C’est offrir un bout de temps, un peu de gentillesse, un regard, un sourire, un silence, une écoute.
Le partage n’appauvrit jamais celui qui donne.
Il crée du lien, ouvre des cœurs, guérit les solitudes.
Pourquoi le partage est-il si précieux ?
Il humanise nos relations
Dans un monde souvent égoïste ou individualiste, le partage remet l’autre au centre.
Il dit : « Tu existes. Tu comptes. Je te vois. »
Il nous détache des choses matérielles
Partager, c’est reconnaître que rien ne nous appartient vraiment : ni le temps, ni l’argent, ni la vie.
Tout est don, donc tout est à partager.
Il transforme la société
Une société qui partage est moins violente, plus juste, plus fraternelle.
Une société qui garde tout pour elle finit par s’effondrer sur son propre égoïsme.
Le partage rend plus heureux
Des études psychologiques confirment ce que la sagesse enseigne depuis toujours :
Les personnes qui partagent sont plus épanouies, plus reliées aux autres, moins stressées.
Car partager, c’est se libérer de soi-même, c’est grandir dans la joie du don.
« Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. » — Jésus (Actes 20:35)
Partager, ce n’est pas que matériel
On peut partager :
- Un repas, une place, un vêtement
- Mais aussi : une idée, une émotion, une écoute, une présence
- Ou encore : son savoir, sa foi, ses forces
Même celui qui n’a rien peut partager l’essentiel : l’amour.
Une valeur spirituelle profonde
Dans toutes les grandes religions, le partage est un acte sacré :
- En christianisme : c’est le cœur du message de Jésus.
- En islam : l’un des piliers de l’islam est la zakât, le partage avec les plus pauvres.
- En judaïsme, bouddhisme, hindouisme : le don purifie, élève, libère.
Partager, c’est devenir un canal de la lumière divine dans le monde.
Conclusion : Partager, c’est aimer en action
Partager, ce n’est pas perdre.
Partager, c’est donner du sens.
C’est relier les âmes, briser la solitude, et rappeler à chacun qu’il n’est pas seul.
Le monde ne manque pas de richesse.
Il manque de cœurs ouverts.